Un nid de frelons asiatiques à St Julien
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Écrit par René FABREGUE
Il n’y a pas que le froid qui pique à Saint Julien. Des frelons asiatiques ont élu domicile sur notre territoire …
Le frelon asiatique (Vespa velutina) fut introduit accidentellement en France en 2004. Parti du Sud-Ouest de la France, il remonte aujourd’hui la vallée du Rhône et a été observé, depuis, sur plusieurs communes de notre département.
Ce frelon est un peu plus petit que notre frelon européen (Vespa crabro), niche le plus souvent au sommet des très grands arbres et construit des nids pouvant atteindre 80 cm de diamètre. Certes très impressionnants, ces nids sont peu visibles car construits après la mise à feuille. Ils sont situés à une telle hauteur que les habitants qui passent quotidiennement sous ces arbres les découvrent à la chute des feuilles.

Comme le frelon d’Europe, le frelon asiatique construit un volumineux nid de papier mâché, composé de plusieurs galettes de cellules entourées d’une enveloppe.
Les principaux dégâts causés par le frelon asiatique sont la destruction des abeilles et des ruches, ainsi que cell
Celui situé sur notre commune a été localisé entre la déchetterie et l’Ardèche à une hauteur d’environ10 mètres. Les pompiers ont aussitôt été prévenus ; ce nid ne devrait, vraisemblablement, pas passer l’hiver.e des fruits (vigne, figues...). Outre les abeilles, on l’a vu s’attaquer à divers insectes, tels que mouches, papillons ou chenilles. À l’automne, les adultes mangent aussi la chair des fruits mûrs, pommes, prunes, raisins etc. Ils peuvent en consommer de grandes quantités.
Fermeture de La Mairie
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Écrit par accueil mairie
La Mairie et le service technique seront fermés :
- Vendredi 26 décembre 2014
- Vendredi 2 janvier 2015
Prochaine permanence: Samedi 10 janvier 2015 de 8h à 12h
Noël arrive
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Écrit par yves guiton
Noël arrive, dans quelques jours … dans nos familles, nos villages et nos villes, lumières, sapins, réveillons et cadeaux ….Chacun s’approprie ce temps de fête en fonction de ses croyances et de sa culture mais personne n’y est indifférent même si certains, au nom d’une conception sectaire de la laïcité, voudraient en effacer toute trace dans l’espace public
Mais c’est quoi, au juste, Noel ?
C’est le jour où l’on célèbre la naissance de Jésus, fils de Dieu pour les chrétiens .La Bible parle d’une naissance (« il n’y avait plus de place dans l’hôtellerie ») à Bethléem, il y a plus de 2000 ans. Pour tout berceau, une mangeoire (la crèche) ; pour adorateurs, des bergers puis des mages venus d’Orient.
La Bible ne dit pas qu’il s’agit du 25 Décembre : Noel est le jour où on célèbre la naissance du Christ mais ce n’est pas un anniversaire. Les esprits observateurs auront remarqué que le texte biblique indique que les bergers étaient encore dans les champs, ce qui indique plutôt Septembre Mais la n’est pas l’important……
De fait pour l’Eglise Chrétienne la fête importante c’est Pâques. Et c’est la mort sur la croix et la résurrection de Jésus-Christ qui fonde la foi chrétienne ?
La fête de la Nativité (Noël) n’est apparue que tardivement et n’a été officialisée qu’en 529 par l’empereur Justinien. Le choix du Solstice d’hiver s’explique par la nécessité de substituer une fête chrétienne aux fêtes païennes préexistantes .Dans l’empire romain cette période de fin décembre était consacrée aux Saturnales. Dans ces jours, les plus courts de l’année, on faisait la fête pour hâter le retour du Soleil : . Lumières-réjouissances et échanges de cadeaux
Le culte de Mithra, venu d’Iran, et très répandu à la fin de l’empire romain (voir les vestiges du culte de Mithra à Bourg st Andéol ) célébrait le 25 Décembre la naissance (la renaissance ) du Soleil.
Ce thème de la lumière, qui chasse l’obscurité, était parfaitement adapté à la venue du Christ dans le Monde . C’est pourquoi aussi cette fête de la nativité a perpétué certaines caractéristiques des Saturnales (lumières, réjouissances et cadeaux) et en a généré d’autres au fil des siècles : Sapins, père Noel
Faut-il s’en indigner ? à mon sens, non. Les traditions se renouvèlent et se diversifient les santons, les 13 desserts…etc.) A condition ‘pour les chrétiens, de ne pas perdre de vue le sens de cette fête de la nativité…...
Rat, serpent, poule, belette... : accueillir un « nouvel animal de compagnie »
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Écrit par Ludwig
Rongeurs, reptiles, batraciens ou encore certains oiseaux... Ce sont les « nouveaux animaux de compagnie » (Nac), leur détention peut être soumise à une autorisation spécifique.
La réglementation distingue deux cas :
- les Nac appartenant aux espèces domestiques dont la détention n’est soumise à aucune autorisation (furets, certaines catégories de souris, de rats et de hamsters, lapins, cochons d’Inde, poules, poissons rouges...),
- les Nac appartenant à des espèces non domestiques dont la détention est autorisée dès lors que ces animaux ne font partie (sauf exceptions) ni d’une espèce dangereuse (mygales, scorpions, crocodiles...), ni d’une espèce protégée (hérissons...).
Attention, la détention de certaines espèces non domestiques peut être soumise à une autorisation préalable (par exemple pour certains oiseaux ou certaines tortues). Il convient alors d’effectuer une demande d’autorisation de détention au préfet de département du lieu de détention de l’animal par lettre recommandée avec avis de réception, sur la base du formulaire cerfa n°12447*01.
Dans le cas d’animaux non domestiques, les installations et le mode de fonctionnement de l’élevage d’agrément doivent garantir la satisfaction des besoins biologiques de l’animal, son bien-être et le respect des dispositions réglementaires applicables à la faune sauvage.
Drones : ce qu’il faut savoir
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Écrit par Ludwig
Qu’est-ce qu’un drone ? D’un point de vue de la réglementation, c’est « un aéronef qui circule sans personne à bord ». De taille et de poids variables (de moins de 2 kg à plus de 150 kg), le drone peut être utilisé notamment pour inspecter des sites industriels, surveiller des cultures agricoles ou encore tout simplement dans le cadre d’activités de loisirs (on parle alors d’aéromodèles). Si l’accès à l’espace aérien est libre en dessous d’une altitude de 150 m, il faut néanmoins respecter certaines règles (voler en dehors des agglomérations et des rassemblements de personnes ou d’animaux, en dehors des zones proches des aérodromes et en dehors d’espaces aériens spécifiquement règlementés qui figurent sur les cartes aéronautiques). Attention, le télépilote d’un drone est responsable des dommages causés par l’évolution de l’appareil ou par les objets qui s’en détachent. Concernant les activités de loisirs, la réglementation spécifique sur les drones n’introduit pas de nouveauté par rapport aux aéromodèles (dès lors que leur masse est inférieure à 25 kg).
Pour en savoir plus, le ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie fait le point sur la question :
- place des drones dans le ciel français (réglementation, navigabilité et formations...),
- aptitude au télépilotage (obtention d’un certificat d’aptitude théorique de licence de pilote et formation pratique au télépilotage),
- démarches à effectuer en fonction du type d’opération souhaitée (vols en vue limités à 100 m d’éloignement du télépilote hors zone peuplée ou en agglomération, vols hors zone peuplée et hors vue limités à 1000 m d’éloignement du télépilote, vols hors zone peuplée
hors vue et sans limite de distance),
- questions fréquentes (qui est concerné par la réglementation sur les drones civils ? est-ce que je peux utiliser un drone civil chez moi, à la campagne ou en ville ? existe-t-il des écoles de formation au télépilotage ? quelle autorisation solliciter auprès des préfectures ?...).
Deux arrêtés du 11 avril 2012 fixent certaines règles concernant l’utilisation de l’espace aérien par ces appareils, l’objectif étant de protéger les personnes et les biens au sol ainsi que les autres utilisateurs de l’espace aérien. Sauf autorisation ou accords particuliers, les drones doivent évoluer en dehors des zones peuplées, des zones aéroportuaires et dans un espace strictement délimité.
À noter : l’article L226-1 du code pénal prévoit un an d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende en cas d’atteinte volontaire à l’intimité de la vie privée d’autrui en fixant, enregistrant ou transmettant par exemple l’image d’une personne se trouvant dans un lieu privé sans le consentement de celle-ci.